S’appuyant sur l’expérience acquise par la compagnie professionnelle du « Fou de Bassan puis F2B », en résidence au théâtre du Grenier de Bougival depuis 1992, et sur sa pratique en termes de création et de diffusion l’association A2CAT a été crée a Ax Les Thermes, pour conduire un projet de promotion de création chorégraphique.
Riche d’un répertoire d’une cinquantaine de créations, la compagnie s‘est produit à plus de 1000 reprises dans des lieux très divers, amenant l’art chorégraphique au devant de nouveaux publics.
Invitée dans de nombreux théâtres la compagnie a également multiplié les interventions dans des lieux très différents, quelques fois improbables mais toujours avec l ‘objectif de promouvoir l’art chorégraphique sous toutes ses formes.
La diversité des projets proposés mène tous les danseurs à acquérir une richesse d’interprétation inspirée de différents styles de danse. Plusieurs artistes, venant de différents horizons collaborent également aux créations et apportent un regard indispensable à l’acte de création, ainsi peintres, sculpteurs, mimes, compositeurs ont travaillé avec nous.
STEPHANE RIPON
Danseur et chorégraphes Stéphane Ripon a été formé aux Studios Paris Centre sous la direction de Claire Tallia où il obtient un premier prix de la Scène Française en danse classique, puis à l’École Nationale de danse de La Rochelle en classe pré-professionnelle sous la direction de Colette Milner, fondatrice de l’école MUDRA avec Maurice Béjart. Il danse dans la compagnie Chopinot, prix de la SACD 1989.
Sous l ‘influence de Colette Milner création de sa première pièce chorégraphique à L‘École Nationale puis fonde la compagnie F2B en 1991 au théâtre du Grenier à Bougival.
Diplômé d‘État il a enseigné la danse contemporaine pendant plus de 20 ans au Conservatoire de Sèvres.
En 2016 il fonde la compagnie R2 en résidence à Ax-les-Thermes.
En 2017 création du Festival AX EN DANSE.
« Stephane Ripon, milite avec passion pour une danse qui saurait renouer avec un travail de proximité… où l ‘être humain est à la base de toute réfléxion… » (Les nouvelles de Versailles 1998)